Ce manque de respect flagrant pour les gens supportant l’initiative me fait remettre en question ma participation à ce genre de production pour le futur, d’autant plus que j’étais ressortie de cet interview avec l’impression amère d’avoir été la « femme de service ».
Je me dissocie donc entièrement de ce projet et des gens qui en sont à l’origine.
Après avoir voyagé de la Cordillère des Andes à l’Himalaya indien, en passant par l’Australie et la Norvège à la seule force d’un simple pouce tendu aux bords d’une route, deux journalistes partent sur les routes montrer que l’auto-stop n’est pas réservé aux marginaux sous LSD ou aux militaires en permission mais qu’au contraire chacun, et chacune, peut prendre son pied sur la route avec un pouce levé.
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Signe du destin ? Après qu’ils m’aient contactée pour prendre part au projet de documentaire, je les ai rencontrés par hasard sur l’autoroute A31, sur l’Aire de Langres en destination nord… 😉
Avec la participation de :
- André Brugiroux, La Terre n’est qu’un seul pays, 400 000 km en stop
- Anick-Marie Bouchard, Globestoppeuse & la Bible du grand voyageur
- Hervé Décaudin et Fabien Revard, Tôt ou tard – Politique de l’auto-stop
- Antonin Borgnon, The Art of Hitchhiking (Facebook)
- Rézo Pouce, structure d’auto-stop organisé
- Mad Jacques 2017, festival d’auto-stop attirant 1500 participants
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