J’ai reçu une demande par courrier de la part de Jo Magpie. Je la traduis ici librement car Jo parle anglais :

 

Recherche autostoppeuses

 

Ici Jo du blog agirlandherthumb.wordpress.com.

J’écris un livre sur l’auto-stop au féminin. Je suis à la recherche de femmes (ou de personnes vues comme femmes par les conducteurs) ayant fait du stop dans certaines aires gographiques, afin de partager des informations, notamment des conseils spécifiques pour ces aires. Je suis aussi à la recherche de personnes à présenter pour la section « Femmes inspirantes » du livre. Peut-être voudrez vous donner un coup de pouce, ou me recommander des femmes à contacter ?

Je recherche notamment des femmes ayant de l’expérience dans les aires géographiques suivantes :

• Amérique du Nord
• Amérique Latine
• Russie et monde post soviétique
• Afrique
• Sous-continent indien
• Asie Centrale
• Asie de l’Est
• Asie du Sud-Est
• Australie et Nouvelle-Zélande

Je suis aussi intéressée à entendre parler de femmes autostoppeuses généralement inspirantes. Il me fera plaisir de promouvoir leur blog ou leurs projets au passage.

Love,

Jo xx

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Pour contacter Jo —> envoyez-moi un message, suivez-la sur Twitter ou commentez sur ce post – je vous ferai parvenir son adresse mail.

 

Oh et au passage !

Je fais à présent partie du top des blogs stylés de l’Express Styles (qui l’eût cru !). Ils ont publié un interview que j’aime particulièrement. J’y ai ouvert mon cœur un peu plus que d’habitude – allez jeter un coup d’oeil !

Le recueil Pouceux est sorti ! Trouvez-le dans votre librairie de quartier québécoise préférée ou commandez-le en ligne ! 

J’ai accordé  une entrevue à Olivier Tardif de l’Escouade M à la radio de CIBL 101,5 FM Montréal sur le camping – mais aussi pour parler de l’auto-stop et du livre.

 

Et la ligne éditoriale…

J’ai une forte envie de me réapproprier mon espace blog, de publier plus près de ma vie personnelle, mon expérience nomade, mes questionnements de vie. Mes récits de voyage seront toujours du côté de Moi, mes souliers, mais ici je donnerai plus souvent libre cours à mon empirisme et à mes exaltations. Ne soyez donc pas surprises si j’y délire encore plus que de coutume !